Pôle Emploi et moi – l’inscription

Comme je suis parfois une fille bien organisée j’avais commencé à remplir mon inscription quelques semaines avant la fin de mon congé parental (si c’est possible, on vit dans un monde moderne… quoique).

Mais Pôle a commencé à m’énerver quand j’ai voulu revenir à ce que j’avais déjà écrit et que j’ai constaté qu’une grande partie de mes informations (périodes de travail, employeurs, salaires…) s’était envolée. Mouais…

Deuxième déception après avoir imprimé mon dossier : il n’était pas tout à fait le même que sur mon écran et oh surprise on me demandait un papier de la CAF pour justifier de mon congé parental. Qu’à cela ne tienne, j’ai pris mon téléphone et après 12 minutes d’attente avec une douce musique dans les oreilles (hum), une charmante dame (hum) m’a expliqué que je n’obtiendrai le sésame que lorsque mon congé serait véritablement terminé et qu’il fallait compter une dizaine de jours pour le recevoir (« non par mail ça n’est pas possible » – monde moderne disais-je). Ok.

Je me suis donc rendue à mon entretien d’inscription avec un dossier incomplet (à quoi bon essayer d’être prévoyante) que ma conseillère (qui me paraît pour l’instant sympathique, ben oui tout ne peut pas être négatif) m’a immédiatement redonné. De toute façon finalement il lui fallait aussi plus de bulletins de salaire que ce qu’on m’avait demandé à l’origine.

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J’ai donc ramené mon dossier complété une dizaine de jours après et, dans un excès de zèle, j’ai décidé de rajouter au dossier mes relevés de prestations de sécurité sociale parce que comme j’avais été en congé maternité je me suis dit que ça pouvait servir.

J’ai guetté mon espace perso sur le site (oui je suis une sorte de VIP) parce que j’étais quand même inquiète de savoir comment je remplirai mon chariot le mois suivant. Invariablement je constatais que mon « dossier [était] en cours de traitement« . Jusqu’à ce jour où j’ai pu lire : « vous n’avez pas d’allocations« . Mon cœur a dû s’arrêter une fraction de seconde.
J’ai sauté sur mon téléphone. J’ai attendu 24 minutes (je suis coriace) pour m’entendre répondre qu’en fait mon dossier m’était une nouvelle fois renvoyé. Soulagement dans un premier temps parce que ça ne voulait pas dire que je ne recevrais pas d’indemnités. Colère dans un second, pourquoi diable Pôle ne m’avait-il pas demandé ce qu’il voulait du premier coup ?
Il fallait encore d’autres bulletins de salaire (budget cartouches d’encre explosé), un autre papier de la CAF pour dire qu’avant mon congé parental à temps plein j’avais eu un congé parental à temps partiel et des papiers de la sécu (budget téléphone explosé vu que les numéros sont surtaxés, Pôle compris). D’accord.
Donc pour la CAF vous connaissez la chanson (une dizaine de jours, pas de mail), pour la sécu le formulaire demandé remontait à trop loin, impossible de me le fournir. La gentille personne (oui il y en a) que j’avais au bout du fil m’a alors conseillé de remplacer ledit formulaire par mes relevés de prestations. Si vous avez tout suivi, vous savez que ces relevés je les avais déjà donnés. Blasée.

Je me suis perdue dans les méandres de ces administrations, j’ai mal dormi mais au bout d’un long mois j’ai enfin reçu la lettre que j’attendais ; j’ai droit aux ARE.
Reste maintenant à trouver ma voie (j’y travaille, suite au prochain épisode).

Ca y est je suis officiellement demandeuse d’emploi (mais il paraît qu’il vaut mieux dire chercheuse d’emploi, ça fait moins glandeuse).

Adieu congé parental je t’aimais bien

Lettre congé parentalVoilà ce que je pourrai dire dans quatre jours.
Quatre petits jours nom d’un chien !
Je me sens complètement en panique à l’approche de cette nouvelle vie. Je suis envahie de questions, de doutes.

Il y a 7 ans et demi, quand Zoé est née, j’ai choisi de prendre mon congé parental à temps partiel. Un  jour par semaine, je ne prenais pas le chemin du travail pour profiter pleinement de ce bébé tout juste arrivé. Un jour par semaine je n’avais pas l’impression de rater quelque chose, je ne ressentais pas le manque de ses joues roses et de ses mains potelées. Les six mois de ce congé ont passé à une vitesse folle et je n’ai pas pu me résoudre à abandonner ce privilège. Après discussion avec Sam Chéri (et calculs financiers), j’ai convaincu mon employeur de m’autoriser à continuer sur ce rythme ! Quelques dizaines d’euros en moins pour des minutes de bonheur supplémentaires.
Quand Emma est née un an plus tard, la décision a vite été prise de ne plus mettre les pieds à l’usine du tout.
Nino est venu agrandir notre tribu le 06 avril 2012, je ne me suis posée aucune question, j’ai demandé à rester en congé parental, mon boss a accepté.

J’ai dû oublier la nullipare que j’étais et qui jurait qu’elle ne comprenait pas qu’on puisse rester à la maison moucher des nez et essuyer des fesses toute la journée. (Cette même nullipare avait sans doute en tête un métier passionnant…)
Une amie m’avait dit : « Le congé parental c’est sympa mais pas plus d’un an. Après on s’ennuie ! ». On doit être différentes elle et moi. 

Déjà 6 ans que je passe mon temps à moucher des nez et essuyer des fesses mais aussi à jouer, faire des puzzles, écouter les récits des matinées d’école, surveiller les devoirs, prendre le goûter…
J’aime ma vie telle qu’elle est (même si je comprends parfaitement qu’on aspire à autre chose) et je n’ai pas envie qu’elle change.
Enfin pas tout de suite.

La journée arc-en-ciel

Depuis quelques semaines, nous traversons une zone de turbulences à la maison.
Emma est à nouveau en crise.
On a beau savoir que c’est cyclique et que ça ne dure pas, c’est difficile à vivre pour tout le monde. Pour peu que je sois fatiguée, je n’ai aucune patience et ma tolérance est proche du niveau 0. Et ces jours là, l’ambiance est terrible à la maison, les cris se mêlent aux pleurs et mon cœur de maman se brise.
A ce sujet Coralie a posé des mots tellement justes dans son Constat d’échec que je vous invite à les lire. Ses mots ont résonné en moi comme si elle les avait écrit à ma place (nous sommes donc plusieurs à ne pas aimer la maman que nous sommes).

Samedi soir, ma blondinette a été particulièrement dure et, au lieu de garder mon calme et de me raisonner, j’ai été dure à mon tour. Je lui ai dit des mots méchants, des mots que je ne pensais pas mais qui sont quand même sortis de ma bouche. Moi l’adulte, je me suis muée en petite fille capricieuse répliquant aux caprices d’une autre.
Dans ces moments là, je crois que ce qui me met le plus en colère contre Emma c’est ce que je ME reproche. Je lui en veux de tant me ressembler. Pourtant elle n’y est pour rien, tout ça n’est qu’une histoire de gènes. Je crois que la clé serait que j’arrive à dompter mon propre caractère pour mieux la comprendre (merci Docteur Freud aka moi-même !).

Dimanche, nous sommes allés voter en marchant et la demoiselle a été odieuse pendant la ballade. Je me suis éloignée avec Nino et Zoé et j’ai laissé Sam Chéri gérer, ça m’a donné un peu d’air. En rentrant à la maison, nous avons décidé de faire fi de son humeur et le reste de la journée s’est mieux passé.

Et puis hier enfin elle est arrivée. LA JOURNEE ARC-EN-CIEL, celle qui fait basculer notre quotidien de l’autre côté, celle qui nous met du soleil dans la tête, des étoiles dans les yeux et des couleurs plein le cœur. La journée où tout se passe bien, où Emma se maîtrise et où les rires remplacent les larmes. La journée bonheur où on rentre de l’école à pieds et où notre chemin de campagne fleure bon la liberté.
Oh bien sûr on sent que cet équilibre est fragile et qu’une toute petite étincelle pourrait facilement déclencher une nouvelle bataille ; mais cette journée elle m’a fait un bien fou, elle m’a reboostée et c’est tout ce qui compte pour l’instant.

Journée arc-en-ciel

Nos enfants, mars 2015 (sur une idée de Marjoliemaman)

Il y a beaucoup trop longtemps que je n’ai rien publié dans cette catégorie que j’affectionne pourtant particulièrement.
Je m’imagine ridée, avec mes cheveux blancs, relisant ces petits morceaux de vie entourée de mes enfants et de leurs enfants, tous le sourire au coin des lèvres.
Bref, voici ce qui se passe en ce moment à la maison :

Zoé

  • a des allures de hamster car elle a des molaires qui sortent (aïe !)
  • a tenté d’aller à l’école maquillée (baume à lèvres rose tartiné sur les yeux, grande classe !). Heureusement que Sam Chéri l’a interceptée (j’imagine la tête de la maîtresse !).
  • songe à arrêter la gym l’année prochaine pour faire de la musique.
  • dévore les livres à la vitesse de l’éclair.
  • voudrait une tablette « de grand ».
  • ne veut pas être présente à l’anniversaire de sa sœur « parce qu’il n’y aura que des petits » (bah oui 18 mois d’écart c’est énôôôrme !).
  • est fan de Louane.
  • fabrique des minis livres.
  • commence à faire des crocodiles en perles de rocaille.
  • nous répond parfois comme une ado (soupir).

Emma

  • a perdu deux dents la semaine dernière (mais je la soupçonne fortement de les avoir aidées à tomber).
  • n’a pas mis de pantalon depuis plusieurs mois (hormis les joggings pour le sport).
  • pense se mettre à la danse en septembre.
  • aimerait bien savoir lire.
  • rêve d’avoir un « vrai » appareil photos.
  • a déjà invité sa sœur à son anniversaire (c’est au mois de mai, mieux vaut être prévoyant !).
  • est fan de Louane.
  • fabrique des poupées et des cadres en papier.
  • épluche parfaitement les carottes.
  • est dans une période « caractère de cochon » (re-soupir).

Nino

  • nous répète sans cesse qu’ « [il est] mignon » (René la Taupe sors de ce corps !).
  • aime choisir les vêtements qu’il va porter.
  • imagine qu’il pourra aller à l’école avec ses couches (dieu de la propreté si tu entends mes prières !).
  • demande à ce qu’on lui relise ses Popi avant la sieste.
  • s’intéresse aux nouvelles technologies (note à moi-même : laisser mon smartphone hors de portée des petites mains).
  • se pose des questions existentielles du genre « Est-ce que les escargots savent parler ?« 
  • est fan de Louane (au moins tout le monde est d’accord !).
  • fait ses premiers « bonhommes patates ».
  • vient d’apprendre à couper les bouts des carottes et se débrouille comme un chef (merci Sam Chéri pour cette initiative parce que moi je n’aurais jamais osé lui mettre un couteau qui coupe entre les mains !).
  • semble parfois totalement hermétique à mon autorité (plus d’air pour soupirer).

enfants - mars 2015

Celle qui rêvait d’un travail

Comme je vous l’ai déjà dit, mon congé parental prendra bientôt fin. Mon ancienne entreprise ayant décidé de se passer de mes services pour motif de crise économique, personne ne m’attend au charbon.

Mon drame c’est que je ne sais pas ce que je vais pouvoir faire.

Il y a peu de temps, je suis allée au Carrefour de l’orientation. Ce fut (presque) un cauchemar : perdue au milieu des lycéens qui sont tous des géants (ils pourraient manger sur ma tête), j’errais au milieu des allées ; chaque stand me confirmant que mon CV n’était à la hauteur d’aucun poste. Je fis quand même une rencontre intéressante, un charmant monsieur, directeur d’une association, qui me redonna espoir, valorisant mon expérience de maman et qui – en prime – me parla de mon joli sourire qui m’aiderait dans la vie (cheese !!!).

Bref, jusqu’ici j’étais dans l’expectative. Et honnêtement je ne pensais pas vraiment rechercher activement un emploi avant septembre, jusqu’à ce que Nino rentre à l’école.

Ordinateur

Je veux écrire !!!

Puis, jeudi de la semaine dernière, alors que je faisais machinalement un petit tour sur le site de Pôle Emploi, Elle m’est apparue : L’Annonce de mes rêves. Elle débutait ainsi : « Vous êtes dynamique, motivé(e), vous aimez les mots et êtes rigoureux/euse ? Postulez pour rejoindre la société X, et occuper un poste de chargé(e) de communication ! »  Aucun diplôme spécifié et « débutant accepté« . Je n’en croyais pas mes yeux, tout ça c’est moi ! Même si je ne me faisais pas trop d’illusion, je ne pouvais pas rater cette occasion, j’ai postulé. J’ai vu que l’offre avait été éditée début février alors je me suis empressée d’y répondre. Peut-être un peu vite, peut-être un peu trop à chaud. J’ai envoyé un texte, sans vraie relecture, et je regrette un peu. Parce que, quand je regarde le descriptif du poste, ce travail est fait pour moi, je suis faite pour ce travail et je crois que je resterai la seule à en être persuadée. Ce métier c’est celui que je voulais faire quand j’étais au lycée et dont j’avais abandonné l’idée de l’exercer un jour. Je suis consciente qu’il y a beaucoup de personnes plus compétentes que moi mais je ne peux m’empêcher d’espérer.
Non là je vous mens, je n’espère plus (je ne suis pas naïve, j’ai déposé ma candidature il y a plus d’une semaine et elle est restée sans réponse alors que le poste était à pourvoir rapidement). Mais si quelque part une bonne fée pouvait exaucer mon vœu, elle ferait de moi la plus heureuse des blogueuses !

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Ca s’en va et ça revient

Il y a des amis à qui on pense très souvent mais dont on ne prend que rarement des nouvelles. Les jours, les mois, les années défilent et on a un peu honte de revenir vers eux. On ne sait pas ce qu’ils vont penser mais on ne veut pas couper les ponts parce qu’on les aime, parce qu’ils ont compté pour nous.
Ce blog c’est un peu la même histoire, j’ai sans cesse envie d’écrire mais je me laisse déborder par la vie, je ne prend pas le temps, je me fait happer par le quotidien…
Et de temps en temps je reviens ! (Vous ne vous débarrasserez pas de moi aussi facilement !)

Donc voici ce qui s’est passé ces derniers mois dans ma vie trépidante : j’ai fêté Noël (ah bon vous aussi ?!), j’ai eu mon premier smartphone (mais je reste malgré tout un peu une blogueuse vintage, clin d’oeil à ma copine
Elodie), je me suis aperçue que 2014 était déjà derrière moi, j’ai lu Charlie Hebdo, j’ai vieilli, mon compte Facebook a été piraté, j’ai perdu une carte bancaire, j’ai cassé mon bô téléphone (ça c’était pour la « case poisse »), j’ai signalé qu’on avait usurpé mon identité, j’ai retrouvé ma carte bancaire au bout de quelques jours, la garantie de mon téléphone a marché (catégorie « tout est bien qui finit bien ») et le compte à rebours de mon retour à la case Pôle Emploi s’est accéléré. Ah oui aussi l’ingratitude s’est emparée de moi : je n’ai souhaité la bonne année à personne (à part ceux avec qui j’ai réveillonné parce que bon quand même sinon ça aurait fait mauvais genre), je n’ai pas dit merci pour les textos, pour les photos et pour les paillettes dans les enveloppes. Je ne parlerai même pas des anniversaires que j’ai oublié.

La semaine dernière j’ai reçu un mail en réponse à une lettre que j’avais écrite il y a plus de cinq ans (véridique). Je ne serais finalement pas la seule à me dire que mieux vaut tard que jamais ?

Smartphone

ps : Bonne année et joyeuses Pâques (je préfère prendre un petit peu d’avance, c’est plus prudent !).

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Samedi en musique # 11

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Il y a quelques années, sans trop savoir pourquoi, au détour d’un rayon de supermarché, j’ai acheté le cd de Zoë Avril (le prénom peut-être ?).
Je ne l’écoute pas très souvent mais j’aime bien le ressortir de temps en temps. J’en connais la plupart des paroles et comme j’aime chanter…
C’est un album (éponyme) plutôt girly, bien écrit dont les paroles peuvent s’avérer drôles ou très touchantes (Comme un ami évoque par exemple le rapport d’une femme avec son mari après un viol).

J’ai décidé de vous présenter On ne changera pas le monde parce que c’est un de mes titres préférés (pourquoi faire compliqué ?)

Retrouvez les autres participations à ce Samedi en musique chez BBB’s Mum.

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Une jolie boule en kirigami

Boule kirigami

Comme son nom le laisse deviner le kirigami est un dérivé de l’origami mais n’étant pas spécialiste du genre je ne vous en expliquerai pas les spécificités (j’en ai entendus certains dire « ouf ! » dans la salle !).
Tout est parti d’un kit que Zoé avait reçu à son anniversaire par une de ses copines. Les filles ont tellement aimé l’activité (et surtout  son résultat final) que je me suis dit qu’il fallait qu’on recommence et que je vous partage ça ici.
Pas besoin d’être très adroit, c’est plutôt simple à réaliser (pour rappel Emma et Zoé ont respectivement 5 ans et demi et 7 ans ; elles sont appliquées mais quand même !) et ça ne nécessite pas non plus beaucoup de matériel.

Pour commencer, téléchargez ce gabarit (vous pouvez modifier l’échelle en fonction de la taille de boule désirée ; ici vous obtiendrez une boule d’environ 15 centimètres de diamètre).
Ensuite, munissez-vous des fournitures suivantes :

  • L'or de Bombaydu joli papier (moi j’ai trouvé celui-ci chez Cultura, pour faire dans le thème Noël et coller aux couleurs de notre sapin mais cette boule peut être faite toute l’année pour décorer votre intérieur – les multicolores sont d’ailleurs très sympas !).
    J’en ai utilisé 5 bandes de 15,5 x 30 cm.
  • Matérieldes ciseaux
  • du scotch invisible
  • un petit crayon
  • une grosse aiguille
  • du fil de coton perlé (mais un autre fil fera bien l’affaire aussi)

Imprimez le gabarit sur le verso de vos feuilles (si vous avez peur que votre imprimante fasse une indigestion de paillettes et que vous êtes courageux, prenez du papier calque !).

Impression

Découpez les lignes pleines (surtout pas les pointillés).

Découpage

Pliez sur les pointillés.

Pliage

Mettez un petit morceau de scotch pour maintenir votre pliage.

Scotch

Passez un petit crayon  à l’intérieur de chaque branche d’étoile pour lui donner du volume.

Faites 10 étoiles (ou plus si vous augmentez le diamètre de la boule).

Etoiles

Passez le fil dans l’aiguille puis faites un double nœud avec les extrémités.
(Ici le fil mesure environ 50 centimètres.)

Aiguille

Passez le fil dans le centre d’une étoile.

Couture

Enfilez 5 étoiles dans le même sens puis les 5 autres dans le sens inverse.

Changement de sens

Terminez par un double nœud.
Il ne vous reste plus qu’à choisir la taille de votre boucle pour accrocher votre boule !

Noeud

Avouez que c’est facile et que le rendu est original !

N’hésitez pas à venir me montrer vos œuvres en commentaire ou ici.

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Le top 5 de mes traditions de Noël

Aujourd’hui je participe au Top 5 de Coralie (initié par Maman Clémentine) dont le thème est : mes traditions de Noël.

5 : Début décembre nous installons notre sapin, les jours suivants j’emmène les enfants choisir trois nouvelles décorations (une pour Zoé, une pour Emma et une pour Nino). Oups je ne l’ai pas encore fait !

4 : Depuis quelques années, avec l’aide des filles, je prépare des petits paquets de gourmandises à mettre au pied du sapin pour toute la famille (sablés, truffes, roses des sables…). Ca nous fait une activité à faire ensemble et ça permet de faire un petit geste pour chacun.

3 : On réveillonne dans ma famille (chez mes parents avec ma petite soeur, ma grand-mère, ma grand-tante et ma cousine). Avant d’aller se coucher on dépose une chaussure au pied du sapin (on l’a toujours fait, même quand il n’y avait plus d’enfants dans la famille). Le matin on ouvre nos cadeaux tous ensemble puis on fait un grand petit déj’ familial. Le jour de Noël on déjeune chez mes beaux-parents (avec mes beaux-frères et belles-soeurs, des oncles et une tante de Sam Chéri), l’après-midi on fait des jeux.

2 : Le Père Noël sait bien que nous ne sommes pas chez nous alors il livre les cadeaux ailleurs, par contre il n’oublie jamais de laisser un chocolat à son effigie dans les chaussettes des enfants.

1 : Le 24, avant d’aller se coucher, on dépose une clémentine et un verre de lait sur le bord de la cheminée. Le lendemain on retrouve toujours les épluchures et le verre vide laissés par le Père Noël.

N'oublie pas mon petit soulier

Au cas où vous vous poseriez encore la question : « Oui je crois au Père Noël ! ».

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Ma journée au paradis des parents blogueurs #efluentmums3

Le 3 décembre dernier avait lieu la troisième édition du spot des E-fluent mums organisé par le magazine Parole de mamans et vous savez quoi ? J’y étais !!!

Alors petit préambule pour ceux qui ne sauraient pas en quoi ça consiste : selon moi c’est une sorte de salon pour blogueurs parentaux et selon Leslie Sawika (qui parle beaucoup mieux que moi) « c’est plus de 3000 demandes d’inscription d’influenceurs, c’est 350 blogueurs sélectionnés, c’est 80 marques partenaires, c’est une vingtaine de personnalités, c’est plus de 30 journalistes, c’est une équipe de 25 personnes qui travaillent pendant plus d’un an pour rendre cette journée inoubliable, c’est plus de 12436 heures de boulot, c’est plus de 3547 mails traités et c’est surtout des dizaines de milliers de mots bienveillants, d’amour et de partage autour d’un seul événement. »

Ma journée a débuté dès 3h15 (j’avais prévu de me lever à 3h35 mais le stress aidant, j’étais réveillée avant). Sam Chéri m’a emmenée à la gare de Nantes pour un départ à 6h05. Là-bas j’avais rendez-vous avec Elodie que je ne connaissais. Dress code oblige (tenue noire et/ou blanche, accessoires jaunes ou fushias), j’avais opté pour une robe noire avec une paire de collants roses. Premier point commun, Elodie avait fait le même choix que moi ! Hyper facile de se reconnaître donc ! Le trajet jusqu’à Paris a passé à la vitesse de l’éclair, j’ai trouvé une copine (que je n’ai d’ailleurs pas quittée de la journée) ! A Montparnasse nous avons rejoint Aurélia, complètement flipée légèrement stressée de prendre le métro.

Arrivée à destination, j’ai tout de suite été subjuguée par la beauté du Palais Brongniart. Tapis rouge rose à l’entrée, nous avons été accueillies comme des princesses (quoi de plus normal dans un palais ?!). Pose devant le photocall (rien que de le dire ça claque hein !), cadeau de bienvenue, tote bag bien rempli, badge remis et nous pouvions enfin rentrer dans le vif du sujet.
Nous avons assisté à la conférence « Prendre confiance en soi grâce à internet ». Un bilan mitigé : des interventions intéressantes (comme celle de Manue avec qui j’ai eu la joie de discuter brièvement) et d’autres beaucoup moins pertinentes (comme celle de Florence Servan Schreiber qui nous a expliqué être très mal à l’aise dans une conversation à deux et avoir une Community Manager, mouais pour la confiance en soi on repassera !).
Ensuite, nous nous sommes un peu fait coincées à l’interview de Nikos (note pour ceux qui se demanderaient comme mon amie Claire « Nikos qui ? » : Aliagas bien sûr !) par Elsa Fayer. Non pas que nous voulions nous échapper à tout prix, nous avions juste prévu autre chose ! Finalement c’était plutôt sympa !
Après nous avons entamé notre tour des stands où j’ai fait de jolies découvertes dont je vous parlerai dans un autre billet (parce que sinon j’ai peur de vous perdre en route). Là nous avons été couvertes de cadeaux par certains partenaires ; princesses et gâtées donc !
Nous avons grignoté chez Yoni Saada  (mais si celui de Top Chef !), excellent !
Au détour d’une allée, ma copine Elodie a pu avoir son selfie avec Nathalie Péchalat.
Vers 16h00, j’ai dû dire au revoir à ma binôme nantaise qui rentrait plus tôt pour les trois ans de son Poulpinou chou. Mon réveil nocturne matinal commençait à se faire sentir et le massage des mains chez Weleda s’est alors révélé divin !
Dernière conférence : « Comment soigner son image virtuelle pour gagner en influence ? ». Très sympa et là je ne vais pas vous dévoiler un scoop mais seulement confirmer que Cynthia Bavarde est aussi drôle à l’oral qu’à l’écrit !
Avant de partir j’ai assisté à l’intervention de Najat Vallaud Belkacem (où j’étais assise à trois chaises de Sandrine Quétier, et ouais !).

Enfin j’avais rendez-vous dans le hall à 18h00 avec un groupes de bretonnes : Aurélia (toujours aussi angoissée par le métro), Marianne, Marie (et son PetitPoisson trop mignon) et Emmanuelle car nous avions prévu de regagner la gare ensemble. Ce fut court mais très sympa !
Embrassades sur le quai, changement de train au Mans et retrouvailles avec Sam Chéri à 22h24. Fatiguée mais HEUREUSE !

Intérieur Palais Brongniart

En résumé ma journée c’était ça :

  • Un lieu de folie, décoré à merveille qui m’a fait me sentir toute petite et si grande à la fois.
  • Des jolies rencontres.
  • La joie de pouvoir mettre un visage (et une voix) sur les blogueuses que je lis régulièrement.
  • Une sensation étrange en croisant les « blogo-stars », un peu comme si les personnages de feuilletons que je suivais s’évadaient du petit écran (non je ne suis pas folle !).
  • Le plaisir de revoir certaines de mes copines co-créatrices de langes pour Babymoov.
  • L’impression d’avoir parfois fait ma groupie (« j’aime beaucoup ce que tu écris »), regretter de ne pas avoir osé avec d’autres.
  • Beaucoup de sourires.
  • Des cadeaux plein les bras (merci à Squiz d’avoir pensé à nous fournir d’énormes sacs pour ramener tout ça !)

Bref c’était top top top !  Un énorme merci à toute l’équipe de Parole de mamans pour la montagne de travail accompli et vivement l’année prochaine !
(Et merci aussi à Amélie de m’avoir convaincue de venir !)

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